Une vieille femme malade écrit une lettre très émouvante à sa fille ! Une vraie leçon de vie …

Une maman déjà très âgées écrit une lettre à sa fille. Une lettre émouvante qui nous remet les idées en place. Nos parents ont fait preuve de patience durant toutes les années de notre enfance, et c’est à présent à notre tour de s’occuper d’eux avec amour, patience, et générosité. Voici la lettre émouvante de la vieille dame à sa fille :

« Ma fille chérie,

Je suis maintenant une vieille dame, aussi j’en appelle à ta patience et à ta compréhension vis-à-vis de ce qui m’arrive.

Quand nous parlons, je t’en prie, ne me coupe pas la parole agacée en me disant : « Tu viens de me le dire ! ». Écoute-moi seulement, s’il te plaît. Rappelle-toi quand tu étais petite et que je te racontais la même histoire tous les soirs pour te faire dormir. À cette époque, c’est moi que ça agaçait de répéter la même chose tous les soirs… pourtant je le faisais.

Ne t’énerve pas non plus quand je n’ai pas envie de prendre mon bain, parce que ça me fait honte. Souviens-toi que, quand tu étais enfant, je devais te supplier pour que tu me laisses te laver les cheveux.

Quand j’ai du mal à comprendre comment fonctionne mon téléphone portable ou Internet, ne t’énerve pas et laisse-moi plus de temps pour comprendre. Moi, je t’ai bien laissé le temps d’apprendre comment t’habiller seule, faire tes lacets et manger correctement, alors essaie de faire preuve de la même patience avec moi.

Quand nous discutons et que j’oublie de quoi, ne sois pas condescendante. Dis-toi que le plus important est que nous soyons en train de parler, et que ça me fait tellement plaisir.

Bientôt, mes jambes seront trop fatiguées pour marcher aussi vite que toi. À ce moment-là, donne-moi la main comme je le faisais quand tu étais petite et que tu n’arrivais pas à suivre mon rythme.

Quand mon état empirera encore, tâche d’être près de moi et de comprendre par quoi je passe. Donne-moi autant d’amour que tu pourras, sachant que pour ma part, je t’aimerai jusqu’à mon dernier souffle.

Ta maman qui t’aime. »

Laisser un commentaire